Goldfish #4. Xavier Gens. Réalisateur
Salut Xavier, comme le veut la coutume, j’aimerais que tu te présentes en moins de huit secondes.
Bonjour, moi c'est Xavier Gens. Je suis réalisateur de films français, mais les gens pensent que je vis aux Etats-Unis.
Si je t'avais donné plus de temps, tu m'aurais dit, avec modestie parce que je pense que c'est ce qui te qualifie, que tu viens de produire Papicha doublement césarisé. Ce que je trouve dingue c'est que tu as produit le film de ta femme.
Ben ouais, c'est important, c'est un peu une histoire d'amour, elle me racontait son histoire depuis qu'on se connaît et à un moment donné je lui ai dit bon... ce serait bien que tu en fasses un film.
En fait, ça nous a pris pratiquement quatre ans. On a démarré avec rien. On est parti en repérages en Algérie pour voir comment on pouvait faire le film. On a commencé à rencontrer des actrices et d'autres comédiens, d'autres partenaires et à chaque fois c'était en racontant l'histoire qu'on a intéressé les gens. Finalement, on a réussi à monter le projet. Ce qui était assez fou c'est qu'on a tourné vraiment comme une bande de potes, en famille. Et puis, au bout de six mois on était à Cannes en sélection officielle au Festival ;)
Sachant qu'il y a un producteur qui vous a planté en cours de route.
Oui, c'était le producteur avec qui j'avais fait Budapest, qui ne croyait pas au film. Il préférait faire des comédies. Finalement, il a préféré faire MILF avec Axelle Laffont. No comment.
Donc oui, avec toi, les histoires viennent du cœur. Pour moi, t'es le meilleur réal français de films de genre par ailleurs. À l'époque, c'est vraiment ce qui te qualifiait.
J'en fais toujours. Quand on s'est rencontrés, je faisais beaucoup de clips. Et ce qui est intéressant dans le clip, c'est que tu peux expérimenter. Tu peux essayer, tu affines ta technique en fait. C'était pour moi un vrai laboratoire de pouvoir travailler dans le vidéoclip et la publicité. À un moment donné, j'ai eu envie de raconter mes histoires. D'abord, un court métrage sur un épisode qui est arrivé à ma mère qui était caissière de station service et qui un jour s'est faite braquer à 6 heures du mat par un petit dealer à qui elle avait offert un café. Elle a commencé à discuter avec lui pendant une petite heure, mais en fait, au bout d'une heure, le mec était venu pour la caisse. Il y avait 20 balles dedans. Il lui a mis pas moins de dix huit coups de flingue sur la tête. Elle a dû faire quelques mois de rééducation. Quand les policiers sont venus la voir pour montrer des photos des bandes de caméras de surveillance, elle ne l'a en fait pas dénoncé. Elle n'a pas porté plainte. Elle sentait une détresse chez ce mec. Quand finalement, elle aurait pu l'accabler et lui ruiner sa vie, elle s'est dit non il était déjà assez accablé par la vie. Six mois après, le mec est venu lui apporter des fleurs pour la remercier, pour s'excuser. J’ai donc décidé de faire un court métrage de cette histoire. Ce film avait été sélectionné au Festival de Venise. C’est vraiment avec ce court métrage que j'ai commencé à faire des films, et que j’ai commencé à faire ce que je fais aujourd'hui. C'est pour ça qu'il faut toujours écouter ce qu'on a dans le bide plutôt que ce qu'on a dans la tête.
C'est beau, écoute, ça commence fort. Je sais que tu as aussi réalisé un blockbuster qui s'appelle Hitman, pas sans souffrance parce que les salauds t'ont coupé ton director's cut ! Raconte-nous.
J'avais 30 ans, j'ai cru que j'étais libre de faire ce que je voulais. En fait, il fallait plutôt répondre à la commande comme si c'était une pub. Quand tu fais un film américain de studio, tu réponds à une commande comme si c'était vraiment une publicité. Et c'est vrai que tu ne te rends pas finalement compte de l'opportunité que ça représente. Pour moi, c'était un truc de dingue, je me suis dis j'y vais, mais je le faisais comme un film indépendant. Donc, j'ai mis des tonnes de violence. C'était une adaptation de jeu vidéo et à partir de là, je suis parti à fond dans ce qu'il y avait dans le jeu. C'est-à-dire la violence extrême, de la violence de jeu vidéo qu'on ne peut pas faire à l'image dans les blockbusters américains. On a eu des gros problèmes avec la censure là bas. Le studio a coupé 20 minutes de film, parce que c'était trop trash et ils ont rendu l'histoire un peu molle, la première version était beaucoup plus forte, beaucoup plus sur de l'infiltration. Il faut faire gaffe quand tu fais du cinéma américain ou quand tu fais des blockbusters comme ça. Le souci, c'est qu'ils veulent tous suivre une mode. À l'époque, en 2008, la mode, c'était Jason Bourne. Des films caméra à l'épaule, très très rythmés, uniquement basés sur l'action. Et en fait Hitman était un film qui n'avait rien à voir.
Je pense aujourd'hui, avec du recul, que l'histoire leur a donné raison. Le film a fait plus de 100 millions de dollars de bénéfices en salles et plus de 100 millions en vidéo. Idem en télé, le film a ramené pas loin de 250 millions de dollars à son producteur pour un investissement de 20 millions.
Je pense tout de même que si on avait fait une version plus "elevated", plus intelligente, on aurait pu taper les 200 millions, territoire US. Comme ils l’ont joué conservateurs, ils ont joué petit. Je pense qu'ils pouvaient gagner beaucoup plus.
Tu es auteur, réalisateur et producteur. Mais finalement, le truc dont je me souviens quand je t'ai rencontré chez Universal Music, c'est vraiment ton amour des mots, du scénario. Je voulais te demander ce qu’était une belle histoire pour toi ?
C'est l'histoire que tu vas pouvoir porter. Sans essayer de la vendre, c’est celle qui va toucher les gens. Une belle histoire, Il faut que tu sois passionné quand tu la racontes. Si tu la racontes sans passion, c'est que ce n'est pas la bonne et qu’elle ne vient pas assez des tripes. Quand tu pitches un film, il faut que tu sois tellement convaincu que ce soit la bonne histoire, que les gens aient envie de te suivre et envie de le faire avec toi. À partir du moment où tu essaies de fabriquer quelque chose c’est pas bon, il ne faut jamais essayer de se convaincre que c'est la bonne histoire. Souvent, tu le vois dans plein de films, dans pleins de contenus, quand tu essaies de te convaincre que c'est la bonne histoire tu sors du cinéma, tu sors de la série.
Comment t’arrives à le savoir ça ?
C'est instinctif. C'est une petite voix au fond de toi. C'est pas moi qui l'invente, c'est Spielberg qui dit ça. Il écoute toujours la petite voix intérieure qui va lui dire de prendre le chemin le plus difficile plutôt que de prendre le chemin facile.
Tu peux prendre plein de chemins faciles qui vont amener straight to the point et tu vas te dire que c'était ça qu'il fallait faire. Mais à côté de ça, tu sais qu'il y a un chemin plus difficile, un chemin de traverse. Ça va être plus dur, mais en même temps, ton gut feeling te dit que c'est ce chemin qu'il faut prendre. Il faut toujours écouter ce gut feeling parce que même si c'est plus compliqué, c'est celui qui aura le plus de résultats à l'arrivée.
Les chemins faciles n'ont jamais été les plus payants. Un chemin comme celui de Papicha est hyper gratifiant parce qu’il est hyper compliqué. Mais le résultat en est d’autant plus sublime, à tous les niveaux. Pareil, pour un autre film que j'ai fait qui s'appelle Cold Skin, il a été très compliqué à monter, très dur à faire mais je savais qu'il fallait que j’aille au bout. Aujourd'hui, ça fait trois ans qu'il ne baisse pas de niveau d'exploitation. Généralement un film part sur son premier week end et va vivre 2 ou 3 mois, puis après il disparaît. Là où Cold Skin existe depuis 2017 et continue sa vie. Il sort dans pleins de pays avec des retombées assez régulières. Pareil pour The Divide, qui était mon troisième film, un film que j'avais vraiment envie de faire et qui correspondait à un état d'esprit, une sorte de sentiment de révolte par rapport au système des studios américains. C'est aujourd’hui un film qui a 10 ans et dont les gens parlent encore 10 ans après. C'est un film sur le confinement. C'est assez marrant car depuis le mois de mars, les ventes de The Divide ont explosées. C'est là aussi qu’il faut se dire qu'à partir du moment où tu racontes la bonne histoire, elle va vivre sur la durée.
Un film qui est fait par instinct commercial, va vivre trois, quatre mois. Il y a beaucoup de films qui se font comme ça, malheureusement.
Tu as déjà fait de la pub TV. Quels conseils pourrais-tu donner aux marques dans le cadre de la conception de leurs formats publicitaires ?
J'ai beaucoup travaillé avec les gens qui ont créé les pubs Canal. J'ai réalisé les déclinaisons sur la pub du placard, tu vois ? Ce qui était intéressant avec eux, c'est qu'ils étaient vraiment friands de ne pas uniquement vendre leur marque. À partir du moment où tu fais un spot pour ce qu'on appelle, en publicité, "la lessive", le public va identifier le produit, mais ne va pas avoir envie de l'acheter parce que finalement, on se contente de filmer une étagère, ce n'est pas intéressant. Par contre, si tu leur proposes une histoire, une histoire qui vient du cœur où le produit est le héros, d'un coup, c'est là que tu attires le spectateur.
Je ne sais pas si t’as lu le bouquin qui s'appelle Sapiens de Yuval Noah Harari. C'est exactement ce qu'il raconte. Je te conseille vraiment de le lire. Il traite de l'humanité. Au début, on était des petits groupes de 100. On est devenu de plus gros groupes parce qu’il y avait toujours quelqu'un qui était capable de raconter la bonne histoire. C'est comme ça que sont nées les religions. Ce sont les histoires qui ont fédéré les gens, fédéré les peuples et fédéré des groupes. C'est pour ça que je pense qu'en publicité, c'est toujours à cela qu'il faut se référer. C'est vraiment se dire qu'est ce qui va faire en sorte que cette histoire va l’emporter.
Il faut vraiment essayer d'être sincère dans sa démarche et en même temps de croire à l'histoire qu'on va raconter, même si c'est pour un produit. Les pubs Canal, je trouve que c'est le meilleur exemple parce qu'elles sont toujours très fun. La pub pour la cuisine avec les miniatures consistait à traiter de comment on fait des bonnes séries. Ils ont raconté une recette de cuisine avec des voitures de police, des joueurs de foot. On mélangeait tout ça et ça faisait la chaîne. Bien vu. Quand il y a un peu d'esprit et que la pub te fait sourire, qu'elle suscite l'émotion, ça marche.
https://www.youtube.com/watch?v=RLK9WeGJF7o
Il faut aussi essayer de trouver l'originalité. C'est pas à toi de suivre le mouvement, mais à toi de le créer. Et c'est là que t'en as qui sont très, très forts. Jean-Christophe Royer, le concepteur de Canal+, avec qui je travaille très régulièrement, va regarder ce qui se fait aujourd'hui et partira toujours à l'opposé du spectre de ce qui est en train de se faire. C'est vraiment là que tu vas pouvoir réussir. Quand Game of Thrones est sorti t'as eu plein de petites séries d'Heroic Fantasy qui se sont faites, mais rien n'était au niveau. T'avais le monolithe qui était là et que tu ne pouvais pas dépasser.
On rencontre également cette difficulté quand on travaille avec des marques. Pas évident de les embarquer parfois sur des concepts un peu plus audacieux.
Elles ont peur, et ont envie de suivre le mouvement. C'est là qu’il faut les motiver et trouver quelque chose d'inattendu.
J’ai par exemple travaillé sur la série Gangs of London où j'ai notamment rencontré Vince Gilligan, le créateur de Breaking Bad. En fait, le mot qu'il a toujours à la bouche, c'est “unexpected”.
En pub on entend toujours le "never seen before" mais il nous saoule un peu celui là. Il ne faut pas qu'il soit gratuit non plus. Il y a parfois une volonté de se démarquer, mais sans fondement. En revanche, je comprends tout à fait ce que tu veux dire par la nécessité de susciter de l'émotion. Il ne faut pas aller non plus dans le tiède. Il faut tenter les choses, se faire plaisir et être sincère.
Quand tu prends la série Bref par exemple. Ce qui était puissant c'est que ça racontait la vie d'un trentenaire d'une manière qu'on n'avait jamais vue. C'est là la force de Bref. On a vu 50 comédies qui ressemblent à la même chose mais la manière de la raconter est complètement inédite. T’es pas toujours obligé de réinventer l'histoire. Il faut juste prendre quelque chose qui peut exister et le traiter différemment.
Ton client qui veut vendre sa lessive, il faut l’aider à raconter l'histoire de l’odeur de lessive qui peut me rappeler ta grand-mère. Travailler sur l'émotion.
Ça me fait penser à un jeu vidéo auquel je jouais. Entre nous soit dit d’ailleurs, il faut jouer aux jeux vidéos car c'est dans cet univers que vous voyez les choses les plus innovantes au niveau narratif.
Donc ce petit jeu qui s'appelle Unravel raconte ça. Une petite pelote de laine qui se balade dans une maison et qui est à la recherche de souvenirs d'une famille qui vivait là avant. Le mec qui vend sa lessive, va se dire que c'est touchant et émouvant. Je suis sûr que tu fais un spot avec de l'émotion sur juste l'odeur qui te rappelle la soupline de grand mère, ça va fonctionner.
Toi qui a bossé sur des séries, tu sais qu’on parle souvent de cliffhanger. Le petit truc qui accroche à la fin de chaque épisode pour te donner envie de voir le suivant. Dans les stratégies de marque, on cherche toujours aussi le truc qui va justement capter l'attention d'un client. Est ce que ça répond à des techniques précises ? Comment toi, tu as travaillé là-dessus?
En scénario classique, ça s'appelle “la préparation et le paiement”.
Au début de Drag me to Hell, le film de Sam Raimi, un mec collectionne des pièces ou des boutons de veste, tu te dis bon, ok… c'est un trait de caractère du personnage. Et en fait, à la fin du film, tu te rends compte que ce bouton de chemise ou cette pièce était finalement le truc qui allait faire qu'elle allait devoir le donner à quelqu'un pour pouvoir se débarrasser de la malédiction qui pèse sur elle.
Il faut créer ta ligne narratrice principale avec une fausse piste en dessous qui serait menée en filigrane.
Tu me disais récemment que tu étais parti pour tourner une série Netflix. Si tu devais écrire une série pour une marque, tu aimerais qu'elle parle de quoi ? Et a priori, ce serait pour quelle marque ?
Une marque de voyage. Je pense qu'on en a tous besoin. C’est l'histoire de quelqu'un qui part en voyage qui va se faire des kiffes sur des îles. Une série sur une compagnie aérienne. Tu vois un peu comme la Pan Am qui a eu deux saisons. Faire quelque chose sur une compagnie aérienne, je pense que c'est pas mal.
Le meilleur exemple de pub qui ait été tourné en film, c'est FedEx. Ils ont pratiquement intégralement financé le film Seul au monde. C'est l'histoire d'un mec de chez FedEx qui se crash en avion. A la fin, après toutes les épreuves qu’il a endurées, il arrive quand même à livrer le paquet à un de ses clients.
Tu me dis que tu avais vécu aux États-Unis. Dans ton métier, et dans le nôtre tu dirais que tu as retenu quoi là-bas ?
Le plus important, c'est le mindset, redoutable par rapport au mindset français. Aux Etats-Unis ce qui est hyper agréable, c'est qu'il y a une notion de service et de surcommunication. Aux US ça répond dans la minute. Si tu n'as pas répondu au mec dans les 15 minutes, il va te renvoyer un mail pour te demander si t'as reçu son mail. Ça change tout. Il n'y a pas de procrastination. Tout va très vite.
Et c'est vraiment les as du storytelling ?
En fait, ce n'est pas qu'ils sont bons, c'est qu'ils ont industrialisé un modèle. Nous, on est artisans. L'efficacité qu'ils ont dans le “delivery” est folle.
Donc quand tu reviens en France, par exemple, ça, c'est un truc pénible pour toi ?
Clairement. Tout prend des plombes. Après, c'est aussi le charme français. Mais à un moment donné, les Anglais sont capables d'aller boire des coups et répondre aux sollicitations de 10 heures à 17 heures. À partir de 17h, t'oublies jusqu'au lendemain. Mais par contre, ils sont là. Ils sont sur le coup.
Les Espagnols, pareil. On pourrait croire que les Espagnols sont plus lents que les Français, mais au contraire, ils ont le même mindset que les ricains parce qu'ils ont énormément de productions américaines et anglo-saxonnes qui se font chez eux.
Écoute, j'ai deux, trois petites questions un peu plus décalées. C'est parti.
Par quelle scène, tu commencerais ton biopic?
Sur un lac gelé, j'avance, la glace craque un peu sous mes pieds, mais en fait, je me mets à courir pour éviter que ça craque et j’avance sur le lac. C'est une espèce de rêve que le personnage principal ferait. Je commencerai par ça. Perso, j'ai toujours essayé de traverser le lac, même si la glace était fine.
Si Hitman rencontrait Nedjma, l'héroïne de Papicha, il lui dirait quoi ?
C'est une bonne question, ils sont tellement dans deux univers complètement différents... Je pense qu'elle lui dirait plutôt de déposer les armes.
C’est quoi le plus gros budget de film sur lequel tu aies bossé ?
La série télé Gangs of London que je viens de faire là, qui était à 40 millions d'euros.
Une série ambitieuse puisqu'on a tourné pendant plus de 200 jours, quelque chose qu'ils ne font jamais. Généralement, en série télé, t'as entre 10 et 12 jours de tournage par épisode. Là, on était sur le pilote avec 45 jours, et entre 20 et 25 jours par épisode minimum.
Quand t'as vu Mounia, ta femme, monter sur scène et prendre ce César, ça crée quoi comme émotion ça ?
On ne s'y attendait pas une seconde. Je ne dis pas qu'on n’était pas préparé parce qu'on l'avait déjà un peu vécu à Cannes. On a eu une sorte de standing ovation de huit minutes. Un truc de fou. Quand tu reçois ça de la part du public, c'est une vraie forme de reconnaissance et aussi de soulagement.
Tu me disais que le plus dur maintenant, c'était d'arriver à enchaîner.
Il faut retrouver l'innocence qu'on a eu au moment où on a lancé le film. Il faut absolument retrouver cette petite flamme qui fait que tu ne calcules pas le fait que tu vas gagner tous ces prix et que ça va marcher. Il faut retrouver de la sincérité dans la démarche créative. Lorsqu'on fait un succès, ça peut un peu brouiller les cartes. Je pense que c'est la pire des erreurs serait de refaire la même chose. Il faut absolument se réinventer en retrouvant cette sincérité.
Et le réalisateur qui t'a le plus inspiré ?
Paul Verhoeven, vraiment. C'est quelqu'un que je trouve incroyable, qui ne fait pas beaucoup de plans mais dont la manière de déplacer ses personnages dans le cadre est hyper intelligente. C’est ce qu'on appelle le staging.
Merci Xavier, à très vite pour le prochain César !
Agence Content Marketing : comment choisir la bonne ?
Tout le monde parle des bienfaits du Content Marketing.
Et il y a une très bonne raison à cela : les effets d’une bonne stratégie de Content Marketing sur la croissance de votre entreprise peuvent être formidables.
Mais comment faire ?
Plusieurs options s’offrent à vous :
- DIY (do it yourself) et se reposer sur vos ressources en interne. Mais si vous ne savez pas par où commencer, il est fort possible que vous n’obteniez pas les meilleurs résultats.
- Travailler avec un freelance pour penser votre stratégie de contenu : mais trouver un expert sur vos sujets risque de prendre du temps (et de vous coûter cher).
- Une autre option est de faire appel à une agence de Content Marketing.
Dans cet article, vous trouverez nos conseils et mises en garde pour vous aider à choisir la bonne agence de Content Marketing pour définir votre stratégie de contenu.
Qu'est-ce qu'une agence de Content Marketing ?
Une agence de Content Marketing accompagne entreprises et marques dans la définition de leur stratégies de contenu ainsi que dans la production de leurs contenus prints ou digitaux.
Comme c’est le cas au sein des agences éditoriales, elle fait essentiellement usage de ressources en internes (consultants, stratégistes, chefs de projet, directeurs de clientèle et créateurs de contenu).
Combien ça coûte ?
Réponse de Normand : ça dépend. Le prix et la qualité des agences de Content Marketing du marché sont très variables.
Tout dépend des services recherchés.
Nous avons demandé des devis auprès de plusieurs agences. Pour des services équivalents, les devis reçus varient de quelques centaines d’euros pour la rédaction de quelques tweets à plusieurs dizaines de milliers d’euros pour un accompagnement complet pour définir et mettre en place une stratégie de contenu.
On vous en dit plus dans notre article consacré au budget à allouer au Content Marketing.
Quelle(s) différence(s) entre agence éditoriale et agence de Content Marketing ?
Comme le ferait une agence éditoriale, une agence de Content Marketing peut vous accompagner pour penser une stratégie et produire des contenus pour faire croître votre notoriété et générer plus de leads.
Maintenant, la véritable différence réside dans l’approche dite de “Content Marketing”.
“It’s not only about you”
Pour rappel, le Content Marketing est une discipline de long-terme qui se concentre sur les besoins de votre audience cible (et non pas seulement sur ce que vous avez à dire sur vos produits et vos services).
Il permet :
- d’éduquer,
- de divertir,
- de répondre aux problématiques de votre audience,
- et de mettre en avant une expertise par la production de contenus.
Ainsi, si une agence éditoriale peut vous accompagner sur la production de contenus divers et variés, une agence spécialisée dans le content marketing est un partenaire de choix pour produire et partager des contenus plus pertinents et percutants pour une audience spécifique.
Quels services sont proposés par les agences de Content Marketing ?
Si chaque agence peut évidemment proposer des services uniques, vous devriez retrouver un corps commun de services chez toutes les agences de Content Marketing dignes de ce nom :
La rédaction de contenus
Une agence de qualité saura vous proposer la rédaction d’articles de blog, de livres blancs et ebooks, de pages web et de landing pages, ou encore de mails et de newsletters.
En bref, tout ce qui peut être écrit peut être produit.
La production de supports visuels
Animations, production de vidéos ou d’infographies, une bonne agence de Content Marketing devrait pouvoir vous accompagner pour donner vie à vos projets content plus “visuels”.
La gestion de vos réseaux sociaux
En 2020, gérer les réseaux sociaux d’une entreprise est un travail à plein-temps.
Si vous n’avez ni le temps, ni l’expertise pour animer vos différents comptes, vous pouvez externaliser — soit partiellement, soit totalement — leur gestion.
Attendez ensuite de l’agence qu’elle produise vos posts, qu’elle prenne le lead sur votre community management et qu’elle réalise des rapports de performance.
L’optimisation du référencement de vos contenus (SEO)
Il est difficile aujourd’hui de qualifier de “bon” un contenu qui ne génère ni vues, ni clics. Autrement dit, il est essentiel que vous cherchiez à améliorer le référencement de vos contenus sur les moteurs de recherche (Google, principalement).
Une bonne agence saura vous accompagner dans l’identification des mots clés importants pour votre entreprise, ainsi que dans l’optimisation des contenus de votre site.
Consultation et conseils stratégiques
Enfin, si vous disposez de ressources humaines pour produire le contenu en interne, vous pouvez également faire appel à une agence de Content Marketing à titre purement consultatif.
Une agence de Content Marketing doit être en mesure de mesurer les performances de votre stratégie de contenu actuelle. Une fois les résultats de cet audit avancé en main, vous n’aurez qu’à appliquer leurs conseils pour atteindre votre but.
Notez que cette liste n’est évidemment pas exhaustive. Elle comprend toutefois les prestations le plus souvent proposées par les agence de marketing de contenu.
Maintenant, quels résultats attendre de ces services ?
Quels résultats attendre d’une agence de Content Marketing ?
Le Content Marketing est un engagement de long terme et il peut impacter tous les aspects de votre business. À terme, voici ce à quoi vous devriez vous attendre.
Des workflows de contenu pour chacun de vos persona
Le Content Marketing est là pour donner plus de sens à votre stratégie éditoriale. Vous le savez mieux que quiconque, vos prospects et clients rencontrent des problématiques différentes.
À problématique unique, solution unique.
Une stratégie de Content Marketing mature doit permettre à vos personæ principales de se retrouver dans les solutions que vous êtes en mesure de leur apporter.
Une génération de leads qualifiés
L’un des objectifs du Content Marketing est de renforcer la position de votre entreprise sur votre secteur d'activité. Plus votre contenu sera bon (et donc bien référencé), plus vous serez en mesure de générer un trafic qualifié.
À taux de conversion égal, ce gain de notoriété devrait mathématiquement faire croître les performances de votre stratégie d'Inbound Marketing.
Une expérience client perfectionnée
Parce qu’il apporte du sens et de la profondeur à vos messages, tout projet de Content Marketing mené à son terme doit venir améliorer l’expérience de vos clients et prospects.
Maintenant que vous savez à quoi vous attendre en travaillant avec une agence spécialisée sur le marketing de contenu, voici une liste d’éléments à prendre en compte au moment de choisir LA bonne agence pour votre business.
8 éléments à observer pour déterminer la qualité d'une de Content Marketing
Choisir la bonne agence de Content Marketing n’est pas chose facile. Beaucoup d’éléments sont à considérer pour vous assurer de vous engager avec le bon partenaire. En voici 8 que nous pensons être essentiels :
1. L’agence a un site internet clair
Vous n’avez pas envie d’investir dans une agence de Content Marketing qui peine à produire du contenu de qualité pour promouvoir son activité. Aussi surprenant soit-il, de nombreuses agences ne maîtrisent pas totalement les tenants et aboutissants du Content Marketing.
Analysez leur stratégie de contenu.
- Comprend-on ce que fait l’agence ?
- Comment présentent-ils leurs services ?
- Que met-elle le plus en avant ?
- Leurs articles de blog sont-ils intéressants ?
- Leur tonalité est-elle consistante ?
- Prennent-ils la parole dans des publications reconnues ?
2. L’agence peut vous promettre de bons résultats
Une belle agence de Content Marketing saura vous présenter le résultat de campagnes qu’elle a déjà menées pour d’autres clients.
Idéalement, elle doit être en mesure de vous présenter des projets similaires au vôtre, menés sur des verticales proches de la vôtre.
C’est un point important puisqu’il vous donnera une belle idée de la maturité de l’agence ciblée sur vos problématiques.
Par ailleurs, prenez le temps de lire les retours clients et avis partagés sur l’agence que vous considérez. Si l’information vous est accessible, vérifiez la durée moyenne d’une collaboration au sein de l’agence.
Autrement dit, il s’agit de s’assurer de la bonne santé et de la réputation de l’agence Content Marketing que vous vous apprêtez à démarcher.
3. L’agence sait créer différents types de contenus
De l’article de blog à la rédaction de contenus prints, en passant par la production vidéo, une bonne agence de Content Marketing doit pouvoir mettre en avant tous les types de projets qu’elle peut mener à bien.
Évaluez les ressources disponibles gratuitement sur leur site (articles de blog, ebooks, webinars, etc.). Vous devriez être en mesure de vous faire une bonne idée de la rigueur des talents disponibles en interne.
Nous adressons ici le même avertissement que pour les agences éditoriales. Attention aux “agences couteaux suisses” qui misent davantage sur la quantité de services que sur la qualité du rendu final. Comme le veut l’adage : “Qui peut le plus, peut le moins”.
4. L’agence publie du contenu régulièrement
Une agence qui ne parvient pas à publier son contenu de façon régulière est une agence qui présente des signes de surbooking. Autrement dit, c’est une agence qui risque de prendre du retard sur vos projets.
5. L’agence est réactive
Si vous avez déjà mené des projets impliquant de nombreux partis, vous savez qu’il n’y a rien de pire qu’un collègue qui ne livre pas son travail dans les temps et/ou qui tarde à vous informer de son avancement.
Dès les premiers échanges, notez bien le temps nécessaire à votre interlocuteur pour revenir vers vous avec des éléments pertinents.
6. L’agence a des process bien en place
Rien ne doit être laissé au hasard.
Le succès de la collaboration avec une agence repose en grande partie sur son mode de fonctionnement et la façon dont elle communique avec vous.
- Avec qui allez-vous travailler ?
- De quelle manière ?
- Peuvent-ils se déplacer dans vos locaux ?
- À quelle fréquence ?
- Et surtout, on doit vous expliquer pourquoi on fonctionne de cette façon.
7. L’agence n’a pas peur de vous dire “NON”
La bonne agence pour votre entreprise est d’une part celle qui saura vous donner de bonnes recommandations, mais également celle qui saura vous dire “non” lorsqu’elle pense qu’un projet n’a pas de sens, ou bien lorsqu’elle ne se sent pas capable de le mener à bien.
Nous considérons qu’une agence qui accepte de se lancer dans tout type de projet ne se soucie pas tant de votre réussite que de son chiffre d’affaires.
En contrepartie, une agence Content Marketing doit prendre en compte vos remarques et contraintes lorsqu’elles sont pertinentes.
Nous pensons que les collaborations les plus intéressantes entre créateurs de contenu et clients sont celles qui se nourrissent de l’émulsion de toutes les parties impliquées.
8. Vous avez un bon feeling avec l’agence
C’est l’élément le plus subjectif : votre ressenti.
Vous allez passer beaucoup de temps avec vos interlocuteurs au sein de l’agence. Si vous sentez que le courant ne passe pas et n’êtes pas totalement à l’aise en leur compagnie, passez à autre chose.
Au-delà des éléments que vous allez pouvoir remarquer par vous-même, nous avons préparé une liste de 7 questions à poser directement à vos interlocuteurs au sein de chaque agence.
7 questions à poser avant d’engager une agence de Content Marketing
1. Quelle est votre expertise, connaissez-vous mon secteur ?
Chaque industrie à ses propres spécificités et régulations. À réputation égale, nous ne pouvons que vous conseiller de prioriser une agence qui connaît votre marché et qui peut, a minima, vous présenter une ou des références clients proches de l’objectif à atteindre.
Leur accompagnement et leurs livrables n'en seront que plus qualitatifs.
2. Pouvez-vous répondre à nos objectifs stratégiques ?
Quels sont vos engagements ?
Que votre objectif soit d’augmenter l’engagement généré par vos contenus, de générer plus de leads qualifiés, d’augmenter vos revenus ou simplement de gagner en notoriété, l’agence que vous choisirez doit pouvoir vous accompagner.
3. Quels sont vos délais de production moyens ?
Des premières discussions au livrable, combien de temps s’écoule-t-il en moyenne ? Nous vous conseillons toutefois de ne pas faire preuve d’impatience. Un livrable de qualité demande du temps.
Pour information :
- La recherche, la rédaction et l’optimisation SEO d’un article de blog peut aisément demander 7 à 10 jours.
- De même, un court clip vidéo peut demander jusqu’à plusieurs semaines, en tenant compte de la rédaction du brief, du plan de promotion, de la recherche d’une scénographie, de la réalisation et du montage.
4. Quelle est votre méthodologie ?
Autrement dit, comment se passe la gestion d’un projet.
- En interne : qui pilote les projets ? Comment sont validées les étapes de production d’un projet ?
- Avec vous : de quoi ont-ils besoin pour avancer sur un projet ? Qui seront vos interlocuteurs ? À quelle fréquence serez-vous consulté ?
Souvent, les agences fonctionnent en 3 grandes étapes :
- La phase d’audit (analyse et définition d’un projet)
- La phase de production
- Les résultats et mesures
Vous n’obtiendrez des résultats qu’avec des process bien en place ET qui vous conviennent.
Une transition idéale pour la question suivante.
5. Comment mesurez-vous les résultats de votre travail ?
Si travailler avec une agence Content Marketing peut booster les performances de votre entreprise, vous devez pouvoir justifier l’investissement conséquent que cela peut représenter dans votre budget marketing annuel.
Pour cela, l’agence doit vous fournir des rapports de performances construits à partir de vos KPIs.
Pour éviter toute mauvaise surprise, demandez leur s’ils peuvent mesurer vos KPIs.
6. Quels outils utilisez-vous en interne (audit, production, mesure) ?
Cela fait suite à la question précédente.
Questionnez vos interlocuteurs sur les outils utilisés en interne de la production à la mesure de la performance.
Assurez-vous de pouvoir intégrer les outils de votre écosystème marketing, notamment pour adopter de bonnes pratiques de marketing automation.
7. Quel est leur modèle économique ?
Si la somme finale dépend souvent de vos capacités à négocier, le mode de facturation d’une agence est souvent le même : le temps jour homme.
Ainsi, vous devriez être facturé au livrable (et non pas en fonction des résultats obtenus).
Demandez, si possible, une grille tarifaire et renseignez-vous sur l’existence d’éventuels “packs” de prestation pour rationaliser vos frais.
Et s'il vous fallait autre chose qu'une agence de Content Marketing ?
Si l’idée de travailler avec une agence de Content Marketing n’est pas convaincante, sachez qu’il existe une solution hybride pour vous accompagner : YouLoveWords (coucou, c’est nous !).
En quoi YouLoveWords diffère des autres prestataires et agences ?
YouLoveWords, c’est l’association de l’expertise de Content Strategists (en interne) et le savoir-faire de plus de 5 000 freelances experts référencés (rédacteurs, vidéastes, graphistes, illustrateurs, podcasters, etc).
Quel que soit le projet du client, les Content Strategists identifient la ou les personnes les plus compétentes du marché pour le mener à bien.
Quels avantages pour les clients YLW ?
Nous en comptons 4.
1. Un seul point de contact
Le Content Strategist est l’unique point de contact du client.
Ensembles, ils pensent, planifient et exécutent une stratégie de contenu de A à Z, tout en respectant les souhaits, le ton et les valeurs du client.
2. Les meilleurs freelances sur vos sujets
Selon vos besoins et problématiques, le Content Strategist contacte les meilleurs profils parmi les milliers de freelances référencés sur la plateforme YouLoveWords. Il prépare ensuite un brief complet pour leur présenter votre projet.
YouLoveWords a, par exemple, collaboré avec un ancien boulanger devenu rédacteur sur la production de contenus premium pour Lesaffre, acteur mondial de la production de levures. Une association idéale.
3. Des process clairs et transparents
Nous avons des processus clairs pour mieux gérer la charge de travail et la bonne communication entre nos clients, nos Content Strategists et les freelances avec lesquels nous travaillons. Cette logistique millimétré nous permet de proposer un accompagnement client premium.
Aussi, à la différence du “modèle agence”, YouLoveWords facture à la prestation, et non pas au temps passé sur un projet. Nos clients ne sont donc jamais surpris, qu’un projet dure 2 jours ou bien 3 semaines.
Enfin, le livrable ne constitue pas la fin d’un projet.
En travaillant avec YouLoveWords, vous n’investissez pas dans un simple livrable. Vous investissez également dans un accompagnement qui vous assure d’obtenir des résultats.
4. Une plateforme dédiée pour suivre et gérer l’avancement de vos projets
La force différenciatrice de YouLoveWords, c’est aussi une plateforme qui agit comme un hub entre le Content Strategist, les freelances et le client.
Via notre plateforme, le client peut :
- suivre les projets en cours
- voir quels talents sont missionnés
- échanger en temps réel avec son Content Strategist
- consulter les documents liés à son projet
En bref, c’est l’outil idéal pour suivre l’avancement de projets marketing externalisés.
Les services proposés par YouLoveWords
YouLoveWords propose 4 typologies de services.
1. La définition de votre stratégie de contenu
Si vous pas de stratégie de contenu, nous vous aiderons à définir vos KPIs et à construire un plan efficace, tout en prenant compte de vos priorités, qu’il s’agisse :
- d’augmenter votre notoriété auprès de votre clientèle cible,
- de générer plus de leads qualifiés,
- ou encore d’améliorer la satisfaction de vos clients.
2. La production de contenus originaux
Accompagnés de nos freelances sur vos problématiques, nous sommes en mesure de vous livrer différents formats :
- Des contenu écrits : articles destinés à la presse, articles de fond pour votre blog, livre blancs & ebooks, pages piliers, newsletters, posts pour vos réseaux sociaux, etc.
- Des contenu visuels : photos, infographies, vidéos, stop-motion, cinemagraph, creative content, etc.
- Des contenus audio : articles lus, podcasts, interviews clients, etc.
You name it. We do it.
Un type de mission que nous avons mené avec le Salon International de l’Agriculture (SIA) avec pour objectif de développer ses différentes communautés sur les réseaux sociaux et d’augmenter la visibilité globale du salon.
Pour cela, nous avons :
- pensé une stratégie social media,
- géré la production des contenus durant l'événement,
- produit - de manière ponctuelle - des contenus pour alimenter les réseaux du SIA, en dehors du salon,
- et produit des infographies.
Le résultat ? 2,8 millions de personnes touchées par ces contenus.
3. Optimisation de votre performance marketing
Nous proposons également la production de rapports avancés dans lesquels nous identifions les leviers de croissance et outils à activer pour augmenter la visibilité de vos contenus, et donc de votre marque :
- Piste d’optimisation SEO (référencement naturel)
- Audit et mise en place de votre stratégie social media.
- Audit et mise en place de votre stratégie d’emailing et de newsletters.
- Pilotage de vos campagnes publicitaires digitales.
- Mise en relation avec des blogueurs, influenceurs et youtubeurs experts sur vos sujets.
4. Un accompagnement éditorial et webmarketing
Enfin, comme le ferait une agence “classique”, nous pouvons accompagner nos clients sur des besoins plus ponctuels :
- Services éditoriaux : réécriture de contenus, traduction, optimisation SEO, etc.
- Services webmarketing : développement de sites sur Wordpress, tierce maintenance applicative, suivi des analytics, etc.
Dans quels cas engager une agence Content Marketing ? Dans quels cas engager YouLoveWords ?
Tout dépend de vos projets et de votre maturité “digitale”.
L’agence : un partenaire idéal pour des projets de court terme
Faire appel à une agence digitale est intéressant si vous n’avez pas encore de positionnement stratégique clair. Le format “livrables” de l’agence est idéal pour :
- Répondre à des besoins spontanés
- Travailler sur des projets précis, comme la production de supports prints nécessitant un réel savoir-faire marché et un accompagnement clé en main.
Maintenant, travailler avec une agence, c’est aussi :
- Payer cher pour une disponibilité (modèle forfait).
- Se rendre dépendant des compétences disponibles en interne ainsi que de l’éventuel turnover du personnel.
YouLoveWords : le partenaire idéal du long terme
À l’inverse, YouLoveWords est l’alternative idéale pour les entreprises à la recherche d’un partenaire avec qui mettre en place une stratégie de Content Marketing sur le long terme.
Par ailleurs, nos Content Strategists ne sont pas simplement là pour mener vos projets à bien. Ils sont formés pour accompagner la montée en compétence de vos équipes.
C’est justement dans cette logique d’accompagnement que nous avons organisé le premier Creative Day. Une journée dédiée pendant laquelle clients, Content Strategists et talents freelances se sont rencontrés (et challengés) pour produire du contenu original et innovant.
« Une journée de création avec de véritables talents complémentaires : de quoi donner un coup de boost à sa stratégie de contenus et repartir avec des idées plein la tête. En somme, un événement dynamisant pour les marques. A renouveler ! » — Laura Hylton, Social Media Manager chez Essilor
Enfin, travailler avec YouLoveWords, c’est l’assurance de travailler de manière agile avec les meilleurs talents freelance du marché.
Alors, prêt·e à vous lancer dans le content marketing ?
Que vous souhaitiez confier la production de votre contenu de manière spontanée à une agence digitale spécialisée dans le Content Marketing ou que vous recherchiez un partenaire pour faire monter en compétence vos équipes sur le long terme, vous disposez maintenant de tous les éléments pour faire un choix éclairé et mener à bien votre projet de marketing de contenu.
Si vous avez besoin d’une estimation rapidement, n’hésitez pas à nous contacter !